Politique de recouvrement : Comment les problèmes d’impayé sont-ils réglés ?

Les entreprises de commerce ainsi que les institutions bancaires ont un service juridique affecté au recouvrement des créances. Elles développent différentes stratégies pour que les impayés n’affectent pas leur trésorerie et leurs relations avec les clients. Voici quelques informations importantes sur la créance ainsi que les solutions existantes pour les résoudre.

Petite notion sur la créance

La créance est une somme d’argent qui doit rentrer dans les comptes d’une entreprise. Ce manque à gagner doit être réel, sous forme de facture. Ce document atteste un achat effectué ou une prestation de services faite. De cette pièce comptable est née la notion de créance. Elle suppose de la part du client, le paiement effectué après les prestations. Cette transaction se fait suivant une échéance convenue entre l’entreprise et le client.

Comment cette créance devient-elle un impayé ? La créance devient un impayé lorsque la date de règlement d’une somme due n’est pas respectée. Cela dit, chaque entreprise a sa propre politique pour amener le client à honorer sa dette. D’ailleurs, les stratégies de remboursement diffèrent également d’un cabinet comptable hainaut à un autre professionnel en créance.

Les procédures de résolutions ont pour but d’éviter que le problème impacte négativement les finances de l’entreprise. Dans ce cas précis, la meilleure alternative pour limiter le dégât consiste à contacter un cabinet comptable pour évaluer la situation en tenant compte de tous les impayés. Plusieurs détails seront analysés durant le processus. La résolution du  problème dépend de la situation, par exemple, si le client incriminé insolvable ou non. De plus, le retard peut provenir d’un oubli ou d’un impondérable lié au mouvement de comptes bancaires. Des modalités qui nécessitent un savoir-faire précis dans le domaine.

Recouvrement amiable et judiciaire

Le service contentieux entre en action pour régler le problème en récupérant l’argent. Ce service s’occupe des impayés. Cela se manifeste sous deux formes : le recouvrement amiable et le recouvrement judiciaire.

Le recouvrement à l’amiable

Une bonne politique comme celle recommandée par le cabinet comptable hainaut dans cette situation consiste à opter pour le recouvrement à  l’amiable. C’est le fait lorsque le client est un partenaire. Le recouvrement amiable ne dénature pas les bonnes relations établies. Il évite les longues procédures judiciaires qui peuvent prendre plusieurs mois. Le service contentieux se déploie pour contacter le client. En pratique, il l’invite à régulariser sa situation en personne. Les recommandations d’un professionnel du métier pour ne citer que le bureau comptable charleroi sont requises dans ce genre de situation. Cette disposition permet de savoir à l’avance les arrangements possibles et si les compensations demandées sont adéquates.

Le recouvrement judiciaire

Dans le cadre d’un recouvrement judiciaire, le processus visant à régler le litige nécessite la participation des autorités administratives correspondantes. Celles-ci vont s’atteler à la saisie de biens mobiliers ou des avoirs d’autres natures pour régler les impayés. Cette disposition est normalement prise en compte après un délai d’avertissement.

En l’absence de réponse du client en question, l’entreprise saisit le tribunal qui émet un titre exécutoire au recouvrement judiciaire. L’injonction à payer est remise à un huissier de justice. L’huissier procède à la saisie des biens du débiteur y compris ses comptes bancaires. Dans des problèmes particuliers, la conciliation des deux parties devant un juge est le dernier arrangement. Ce responsable juridique peut ainsi décider des mesures conservatoires favorables à l’entreprise.

Une bonne politique de recouvrement

Pour les grands dossiers en contentieux, il est conseillé de demander les recommandations d’une équipe de comptables fiscalistes. Ces entités sont le plus à même d’aider l’entreprise à développer une meilleure stratégie de recouvrement selon les activités. En effet, les procédures mentionnées ci-dessus sont des références dans le cas d’un litige.  Enfin, des mesures particulières sont prises selon la situation et les caractéristiques du problème.